Mardi 15 novembre, m’appuyant sur une «information» lâchée par l’AFP et largement reprise dans les media du monde entier – information discutable selon laquelle 25% des japonais trentenaires seraient puceaux –, je consacre une conférence à la façon dont certains hommes sont désignés comme boucs émissaires dans un contexte de crise économique.
Cette conférence intitulée «SOS Japon» (titre ironique bien sûr) se déroule au CRIC, à l’initiative du Théâtre de Nîmes qui présente les 16 et 17 novembre un spectacle de Maeda Shiro – Et même si je me perds – offrant une vision pessimiste de la jeunesse japonaise. A tort ou à raison ?
Présentation : «La moitié des Japonais ne ferait plus l’amour», «Un japonais trentenaire sur quatre serait vierge» : les médias véhiculent des informations alarmantes sur la curieuse «indifférence» des jeunes japonais aux choses de l’amour. Ils n’auraient plus envie de se marier et on les tient pour responsables de la dénatalité. Ce pays est-il un laboratoire des tendances, des dérives à venir ? Que cache cette prétendue «absence de désir» ?
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